Les sentiments les plus fins s’amassent, et une fois
agglomérés entre eux, ils forment une épaisse couche. Celle-ci, si on ne sait
s’en dégager, est le propre de la vulgarité. Ceux-là qui se réclament du corps
sensible sont souvent les bouchers d’eux-mêmes, s’appuyant sur des chimères
sensorielles, des sentiments amassés pour en produire la caricature
indifférente, et semer la vulgarité et le culte du corps lorsque plus rien en
eux n’adhère à la véritable forme sensible.
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